Njawé Amanda dénonce l'imposture de Jules Ombede Njawé

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Communiqué
Nous, soussignés, enfants légitimes et cohéritiers du défunt Pius Njawé, Fondateur du Journal Le Messager et du Free Media Group, avons constaté avec amertume, que depuis le décès accidentel de notre père, en juillet 2010, un individu prétendant se nommer Jules Ombede Njawé, et abusant ainsi du patronyme de notre papa, se livre régulièrement à des actes insultants pour la mémoire du défunt, dans le but évident d’obtenir des faveurs auprès de ses anciens amis et connaissances, ou de s’approprier tout ou partie de notre patrimoine familial, avant même qu’ait été rendu notre jugement d’hérédité.
C’est ainsi notamment, qu’après avoir été, à notre insu, demander de l’argent au gouvernement, soi-disant « pour organiser les obsèques de notre père », puis après s’être livré clandestinement à des ventes illicites de propriétés domaniales de notre père, il vient de se signaler récemment par l’organisation dans un Hôtel de Yaoundé, et sans droit, d’une cérémonie grotesque de distribution à tout vent, d’un prétendu Prix international intitulé « Njawé international Prize ».
Sans compter que, se prenant pour le « patron » du Journal Le Messager, il use d’obstructions et de menaces physiques, y compris de mort, pour empêcher le Directeur de Publication du Messager, depuis quatre mois, d’accéder à ses bureaux pour travailler. Peut-être a-t-il l’intention (ou la mission) de faire sombrer Le Messager ?
Nous tenons à faire savoir à l’opinion publique en général, à tous ceux qui ont connu et amé Pius Njawé et respectent sa mémoire et ses œuvres, mais aussi à ceux qui pour des raisons et d’autres encouragent M. Jules Ombede dans ses œuvres de destruction, que nous, les enfants légitimes de feu Pius Njawé, ne sommes, ni de près, ni de loin associés ou impliqués dans les agissements de ce Monsieur qui affirme partout être notre frère, mais qui à ce jour, malgré toutes les opportunités qui lui ont été données, ne veut ou ne peut produire un acte authentique de filiation.
Nous entendons, par cette mise au point malheureusement tardive, faire en sorte que des personnalités politiques et civiles, des opérateurs économiques, et des diplomates, etc. ne continuent pas à être abusés par l’imposture de M. Jules Ombede, qui est d’ailleurs actuellement poursuivi au Tgi de Douala, pour « faux et usage de faux » en rapport avec son hypothétique filiation.
A tous ceux qui ont déjà été victimes des agissements de M. Ombede parce que nous avons tardé à faire cette mise au point, nous présentons nos excuses les plus expresses.
Ampliations :
- Les missions diplomatiques
- Le Mincom
- Le Cabinet civil de la présidence de la République
- Le Directeur de Publication du Messager
- Le Procureur de la République près le Tgi de Douala
© Correspondance de : Njawe Amanda