Quotidiennement dans les administrations publiques et privées camerounaises, les détenteurs d’une parcelle de pouvoir profitent de l’Anonymat du circuit des prises de décisions soit pour régler des comptes personnels, soit pour assouvir de sombres desseins. La parade trouvée par préfets et sous-préfets est l’usage du fallacieux prétexte du « trouble à l’ordre public » pour interdire réunions et manifestations publiques.
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La Grande Palabre: le sous préfet par intérim de Yaoundé I fuit le TGI du Mfoundi
Quotidiennement dans les administrations publiques et privées camerounaises, les détenteurs d’une parcelle de pouvoir profitent de l’Anonymat du circuit des prises de décisions soit pour régler des comptes personnels, soit pour assouvir de sombres desseins. La parade trouvée par préfets et sous-préfets est l’usage du fallacieux prétexte du « trouble à l’ordre public » pour interdire réunions et manifestations publiques.
Interdiction de La Grande Palabre: le sous-préfet de Yaoundé I contredit Paul Biya
Appelé à faire valoir ses droits à la retraite depuis 4 ans, il continue, à 59 ans sonnés, à exercer les fonctions d’adjoint d’arrondissement à la sous-préfecture de Yaoundé V. Cérise sur le gâteau, il exerce celles de sous-préfet par intérim de l’arrondissement de Yaoundé I, après sa nomination, par décret du préfet du Mfoundi. Il faut bien avoir des couilles et de l’entregent pour réussir de telles promesses.
Des couilles, il en a. Pour montrer sa détermination à remplir les nouvelles fonctions qui sont les siennes, il a lancé un défi à Paul Biya en interdisant la 25e édition des conférences-débats que Germinal organise tous les derniers jeudis de chaque mois depuis deux ans et qui avait pour thème : Un printemps des libertés est-il possible sous les tropiques d’Afrique centrale? Une lecture politique, géopolitique et stratégique.
Pendant que Temgbet Issah signait sa lettre d’interdiction, le chef de l’État affirmait à Paris (France), lors de son séjour de travail qu’il n’y a pas « de problèmes de droits de l’homme », que le Cameroun est « un pays où on dit beaucoup de choses » et que « les Camerounais sont parmi les Africains les plus libres ».
Zapping: Maurice Kamto pénalise Germinal
Je tombe des nues. Ma surprise est d’autant plus grande que c’est depuis environ trois semaines que nous avons fait parvenir, pour la première fois, au président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc), M. Maurice Kamto, un protocole d’interview. Dans notre courriel, nous écrivions le 17 janvier 2013 : « Avec la reprise des activités de Germinal, nous avons pensé que vous pouviez être notre invité du mois dans le cadre du dossier que nous préparons et qui paraîtra dans notre édition du 23 janvier 2013. Dans le cadre de ce dossier, nous vous soumettons le protocole d’interview ci-dessous auquel nous réservons deux pages du journal. Nous irons sous presse mardi [22 janvier 2013] à 21 heures. Ci-attaché le protocole d’interview et Germinal n°080 ».
Conditions sociales et réformes institutionnelles pour une transition pacifique au Cameroun
«ll arrive souvent que les hommes préfèrent leur passion à leur intérêt, et il est des peuples qui ont disparu pour n’avoi pas voulu renoncer à leurs fétiches», Fabien Eboussi Boulaga (1999:51)
A l’occasion de la 24e édition de La Grande Palabre, le groupe Samory, éditeur de Germinal et ses partenaires (Harmattan Cameroon, La Fondation Gabriel Péri, Dynamique citoyenne, le quotidien Le Messager, Radio Cheikh Anta Diop, Addec et Human Rights Initiatives (HRI)), invitent le public à prendre part à la réflexion (conférence-débat) qu’ils organisent à Yaoundé, le jeudi 29 novembre 2012, au Djeuga Palace hôtel à 14h sur le thème:
Conditions sociales et réformes institutionnelles pour une transition pacifique au Cameroun
Le 06 novembre 2012 le président de la République du Cameroun qui a déjà 80 ans sonnés, a fêté ses 30 années passées à la magistrature suprême. À cela, si on ajoute six années passées à la présidence de la République comme Secrétaire général cumulativement avec ses fonctions de directeur du cabinet civil, ministre d’État Secrétaire général et sept années de séjour à la primature comme premier ministre depuis 1975, le chef de l’État, Paul Biya occupe les hautes cimes de la souveraineté nationale depuis…45 ans . Mais quelle longévité aux affaires!
Njawé Amanda dénonce l'imposture de Jules Ombede Njawé
Nous, soussignés, enfants légitimes et cohéritiers du défunt Pius Njawé, Fondateur du Journal Le Messager et du Free Media Group, avons constaté avec amertume, que depuis le décès accidentel de notre père, en juillet 2010, un individu prétendant se nommer Jules Ombede Njawé, et abusant ainsi du patronyme de notre papa, se livre régulièrement à des actes insultants pour la mémoire du défunt, dans le but évident d’obtenir des faveurs auprès de ses anciens amis et connaissances, ou de s’approprier tout ou partie de notre patrimoine familial, avant même qu’ait été rendu notre jugement d’hérédité.
Le Monde assure la promotion d'un dictateur
Dans la grisaille ambiante, quel bonheur de découvrir, à la lecture du journal Le Monde de vendredi, qu'il existe quelque part en Afrique un petit coin de paradis pour ses propres citoyens comme pour les investisseurs étrangers. Il est si rare qu'un journal accorde une double page à l'actualité d'un pays d'Afrique subsaharienne, et plus étonnant encore que cette information n'use pas du ton dépressif servant à décrire les maux habituellement accolés au continent : guerre, misère, corruption ou despotisme.
Je voudrais ici rendre grâce au journal Le Monde de prendre à revers ces traditionnelles dérives et de faire le choix d'une information juste et pleine d'espérance sur un pays d'Afrique noire : le Cameroun de Mr Paul Biya. Sur une double page centrale, une série d'articles au ton mesuré et illustrés de photos en couleurs présentent un magnifique travail de terrain en laissant la parole à de « vrais gens ».
Contrôle des médias : Le Renouveau couvre la presse de billets de banque pour acheter la paix
Le fils Njawé au cœur d’un réseau de corruption des médias
Le 19 octobre 2011, le journaliste Christophe Bobiokono révéle dans une enquête bien conduite que de nombreux patrons de presse (notamment des Directeurs de publication) avaient reçu de l'argent du Directeur du Cabinet si vil de la présidence de la République du Cameroun, M. Martin Belinga Eboutou; mais aussi du ministre camerounais en charge de la Communication et porte-parole du gouvernement, M. Issa Tchiroma. Parmi les acteurs cités dans cette enquête , un nom apparaissait et qui surprenait plus d'un journaliste: celui de Njawé Ombede Jules (fils du défunt Pius Njawé). En réaction à l'enquête de Bobiokono, Jules Njawé a servi un droit de réponse au quotidien L'Actu et au journal L'Equation (droit de réponse repris par le site camer.be) La réaction, ci-dessous, de Christophe Bobiokono s'est pas faite attendre. Visiblement, Christophe Bobiokono à mis le doigt dans la plaie.
Christophe Bobiokono répond à Jules Ombebe Njawé
Monsieur le Directeur de la publication,
J’ai reçu quelques gentillesses à travers un texte paru
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