Pour avoir lu un article paru il y a peu [1], maints Français résidant en Côte d’Ivoire m’ont demandé de rédiger, à votre attention, une lettre en m’en suggérant l’objet : la Crise ivoirienne postélectorale. Et, après en avoir médité l’opportunité et l’utilité, j’ai accepté en choisissant un thème : la position de la France dans cette crise. Pour autant, j’ai convenu de donner une facture « ouverte » à ma lettre, qui - au plan du genre littéraire - empruntera la forme d’une fiction, puisqu’il s’agit de la transcription d’un rêve récent. Toutefois, à l’inverse du Mercier de L’An 2440, rêve s’il en fut jamais [2], ma lettre, une cohue d’images, ne sera pas un récit d’anticipation, mais la narration d’une fiction qui relatera les événements d’un « rêve » dans lequel la France fit autre chose que ce qu’elle fait actuellement en Côte d’Ivoire.
Lettre ouverte à M. Nicolas Sarkozy : Sur la Crise ivoirienne postélectorale
Monsieur le Président,
Pour avoir lu un article paru il y a peu [1], maints Français résidant en Côte d’Ivoire m’ont demandé de rédiger, à votre attention, une lettre en m’en suggérant l’objet : la Crise ivoirienne postélectorale. Et, après en avoir médité l’opportunité et l’utilité, j’ai accepté en choisissant un thème : la position de la France dans cette crise. Pour autant, j’ai convenu de donner une facture « ouverte » à ma lettre, qui - au plan du genre littéraire - empruntera la forme d’une fiction, puisqu’il s’agit de la transcription d’un rêve récent. Toutefois, à l’inverse du Mercier de L’An 2440, rêve s’il en fut jamais [2], ma lettre, une cohue d’images, ne sera pas un récit d’anticipation, mais la narration d’une fiction qui relatera les événements d’un « rêve » dans lequel la France fit autre chose que ce qu’elle fait actuellement en Côte d’Ivoire.
Mise à jour le Samedi, 12 Février 2011 09:49
Pour avoir lu un article paru il y a peu [1], maints Français résidant en Côte d’Ivoire m’ont demandé de rédiger, à votre attention, une lettre en m’en suggérant l’objet : la Crise ivoirienne postélectorale. Et, après en avoir médité l’opportunité et l’utilité, j’ai accepté en choisissant un thème : la position de la France dans cette crise. Pour autant, j’ai convenu de donner une facture « ouverte » à ma lettre, qui - au plan du genre littéraire - empruntera la forme d’une fiction, puisqu’il s’agit de la transcription d’un rêve récent. Toutefois, à l’inverse du Mercier de L’An 2440, rêve s’il en fut jamais [2], ma lettre, une cohue d’images, ne sera pas un récit d’anticipation, mais la narration d’une fiction qui relatera les événements d’un « rêve » dans lequel la France fit autre chose que ce qu’elle fait actuellement en Côte d’Ivoire.
Paul Biya à court de réponses aux critiques à lui adressées dans la gestion de l'État
Le président Biya est devenu son principal opposant. D’une part, il est le premier à reconnaître les maux qui minent son régime et d’autre part, il joue l’expert qui, comme dans un cabinet conseil ou dans un séminaire à l’université, fait la proposition de toutes les solutions idéales. Ce faisant, il fait bien le jeu de l’aire de la promesse intelligente car, au niveau du pilotage des politiques publiques ou de l’opérationnalité de ses objectifs politiques, il reste dans le flou. Analyse pragmatique du discours du président Biya à la Nation le 31 décembre 2010. Comme par le passé, le discours de fin d’année du président camerounais a été un discours-bilan et un discours-programme. Sa structure respecte les canons classiques et académiques de la rédaction administrative à savoir : une introduction (ouverture), un développement et une conclusion (clôture). Ainsi, on peut structurer ce discours en trois grandes parties et en 9 sous-parties à savoir : (1) le bilan de 2010, (2) le programme de 2011 et (3) les vœux pour 2011.
Mise à jour le Dimanche, 09 Janvier 2011 13:48
Gbagbo/Ouattara : Deux politesses différentes dans le Discours et la lettre
Tout d’abord, il faut dire qu’il s’agit techniquement de l’analyse d’une « lettre à la Nation » adressée par Ouattara, probablement dans un souci de primeur de l’acte, en marge de l’événement le 30 décembre 2010 et d’une « adresse à la Nation » faite par Gbagbo pendant l’événement au soir du 31 décembre 2010. « l’égo » des acteurs (politesse), le discours d’Alassane Ouattara dispose d’une forte dominance de ce qu’on appelle la politesse positive. En effet, il ménage tous les acteurs à l’exception de ses adversaires politiques à savoir : communauté internationale, clans politiques et peuple ivoirien. On note une forte récurrence des formules votives, des remerciements, des condoléances, des compliments, des compassions et des énoncés préliminaires.
Côte d'Ivoire : Préparatifs pour une plus violente recolonisation
Cependant, ne restons point les bras croisés.
Parmi nous, il y en a - des défaitistes probablement inconscients de l’être - qui continuent plus ou moins honnêtement à se demander qui a gagné la dernière élection présidentielle ivoirienne. La soif, la recherche de la vérité, de la vérité pure ou absolue est une démarche de l’homme aussi vieille que le monde. Il s’agit d’une attitude plus religieuse, spéculative que pragmatique, faiseuse de paix sociale, de relations conviviales entres groupes sociaux et peuples.
Côte d'Ivoire: Myopie et insouciance préméditées de l'Onu
Côte d’Ivoire : les implications et les externalités des erreurs administratives et diplomatiques
Si les comptes de la Côte d’Ivoire sont bloqués, cela pourrait avoir une externalité positive en ce sens que le président Gbagbo pourrait en profiter pour lancer la Banque centrale ivoirienne. Pour bon nombres d’économistes panafricains, ce serait « un acte décisif » vers la libération de ce pays de l’impérialisme monétaire. En effet, cela permettrait selon ces derniers d’affranchir historiquement les ivoiriens de ce que les uns appellent à dessein « Franc des Colonies Françaises d’Afrique » en référence au Franc de la Communauté financière d’Afrique.Côte d’Ivoire : Encore de la subversion par l’Onu
Peuple-Frère Ivoirien: Des signes de votre maturité existent, visibles à l’œil nu. En une dizaine d’années de cohabitation avec le diable, vous n’avez pas favorisé l’irruption d’un colonel Mobutu, d’un Sergent Gnassingbe Eyadéma, d’un Sassou Nguesso, pour trancher d’un coup sanglant la tête du peuple en marche vers plus de liberté. Maintenez à tout prix le cap, en attendant que les peuples frères de la Passion nègre puissent vous suivre, vous accompagner sur le chemin du salut que nous indique, d’un doigt vibrant de colère indignée, la splendeur de l’antiquité égyptienne nègre.
Mise à jour le Dimanche, 09 Janvier 2011 09:12
La France prépare-t-elle un génocide en Côte d’Ivoire?
Opération françafricaine de hold-up électoral en Côte d’Ivoire (1)
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