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Notre opinion

Notre opinion

Jeu de massacre politique au Cameroun

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Le fil de l'épée
Tous les Camerounais et les observateurs de bonne foi sont d'accord pour affirmer que dans la situation actuelle du Cameroun, des mesures draconiennes doivent être prises pour éradiquer, du moins, pour réduire à des proportions permettant une vie sociale normale, les effets de la corruption. Alors que dans certains pays occidentaux et, dans une certaine mesure, dans des pays africains, on a affaire à une corruption notabilaire, au Cameroun, elle touche et implique l'ensemble des catégories sociales et tous les secteurs d'activités. Des milliardaires aux personnes les plus subalternes, du sommet de l'État aux  "rien-du-tout", le siphonage des ressources de la Nation est devenu le plus usuel des agissements des Camerounais. Normal (?) puisque certains Camerounais estiment, à raison, que la corruption est entretenue par ceux-là mêmes qui incarnent les institutions publiques, comme pour dire que  le Cameroun est atteint du complexe de poisson

Mise à jour le Mercredi, 13 Octobre 2010 20:12

Reconstruire la citoyenneté et le Cameroun

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Le 14 septembre dernier à Yaoundé, dans la salle de conférence de son département ministériel, et en présence de nombreux journalistes, de Maurice Kamto, ministre délégué auprès du Minjustice, d’Issa Tchiroma Bakary, ministre de la Communication et d’Amadou Vamoulké, directeur général de la Crtv, le garde des Sceaux, Amadou Ali, a rendu public  le résultat de l’enquête prescrite par le chef de l’État après la mort, dans des conditions troubles, dans la nuit du 21 au 22 avril 2010 à l’infirmerie de la prison centrale de Yaoundé (Kondengui), du journaliste Germain Cyril Ngota Ngota, alias Bibi Ngoto. Au cours de ce point de presse, Amadou Ali a ânonné ce qui avait déjà été débité par son collègue de la communication, à savoir que Bibi Ngota était mort de maladie, notamment du Sida. Comme il fallait s’y attendre,

Mise à jour le Dimanche, 07 Novembre 2010 09:51

Espoirs et désillusions sous le Renouveau

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“ Comment peut-on être Persan ?” Fictive et satirique, cette interrogation que le baron de Montesquieu avait prêtée à ses contemporains avait sûrement, comme le souligne Melchior Mbonimpa (1996 :15), « une certaine vraisemblance dans le contexte où être chrétien relevait d’un fait sans démenti. La question en cache une autre : comment peut-on ne pas être chrétien ». Cette question posée par l’auteur de L’Esprit des lois était finalement devenue une interrogation par excellence sur l’identité nationale. En pastichant l’auteur de Les lettres persanes, on peut se demander comment peut-on être Camerounais. 
Mise à jour le Samedi, 18 Septembre 2010 10:38

René Emmanuel Sadi: La réalité dépasse l'affliction

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Après avoir réussi à couper le monarque présidentiel de son peuple, les thuriféraires hypocrites de Sa Majesté Paul Biya  se sont lancés dans des opérations de dénégation tous azimuts.  Tout en lorgnant le trône présidentiel, (presque) tous ont fait leur cette déclaration de Jacques Fame Ndongo tenue, le 07 avril 2010, au cours de la deuxième réunion régionale des populations du Sud en vue de la préparation du Comice agropastorale d'Ebolowa : " Nous sommes tous des créatures ou des créations du président Paul Biya, c'est à lui que doit revenir toute la gloire dans tout ce que nous faisons. Personne d'entre nous n'est important, nous ne sommes que ses serviteurs, mieux, ses esclaves "
Fame Ndongo, professeur es intrigues, a raison, puisqu'il fait partie de la race des politiciens fabriqués de toutes pièces par le Prince.

Notre Issa Tchiroma Bakary qui est odieux

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Le décor était planté le 30 juillet dernier. On dirait un préau aménagé pour la représentation, de Tartuffe ou L’imposteur, Les Fourberies de Scapin ou Les Précieuses ridicules de Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière. Un metteur en scène : Alain Belibi ( de la Crtv),  qui présente à Issa Tchiroma Bakary, ministre de la Communication et personnage principal, les différents acteurs : Joly Koum de Canal 2 international, Polycarpe Essomba de Équinoxe Tv, Thiérry Ngongang de Stv; des spectateurs : quelques cadres et agents du ministère de la Communication restés abasourdis et figés tout au long de la comédie burlesque ;
Mise à jour le Dimanche, 08 Août 2010 16:01

Notre Issa Tchiroma Bakary qui est odieux

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Notre Issa Tchiroma Bakary qui est odieux

Le décor était planté le 30 juillet dernier. On dirait un préau aménagé pour la représentation, de Tartuffe ou L’imposteur, Les Fourberies de Scapin ou Les Précieuses ridicules de Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière. Un metteur en scène : Alain Belibi ( de la Crtv),  qui présente à Issa Tchiroma Bakary, ministre de la Communication et personnage principal, les différents acteurs : Joly Koum de Canal 2 international, Polycarpe Essomba de Équinoxe Tv, Thiérry Ngongang de Stv; des spectateurs : quelques cadres et agents du ministère de la Communication restés abasourdis et figés tout au long de la comédie burlesque ;

Cinquantenaires de toutes les confusions

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Les 13 et 14 juillet 2010, M. Nicolas Sarkozy, président de la France, a reçu à sa table et sur les Champs-Élysées à Paris, les chefs d’État des anciennes colonies françaises d’Afrique, dont les armées ont pris part au défilé de ce jour, dans le cadre de la célébration du cinquantième anniversaire de leurs indépendances. Un véritable festival d’amalgames, de confusions, de jeux de passe-passe, d’ hypocrisies, de mensonges…

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