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Culture

Culture

Zapping: Maurice Kamto pénalise Germinal

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Il est exactement 11h 19 mn, ce 06 février 2013. À 06h34mn du bouclage, mon téléphone professionnel vivre et me signale l’arrivée d’un Sms. Sans me douter de quoi que ce soit, je consulte ma messagerie. Ma surprise est grande quand je prends connaissance du contenu du message que je viens de recevoir. Il est le suivant : « Jean-Bosco le Président National est empêché. Il ne sera pas possible qu’il accorde l’interview. Partie remise. Respectueusement ! »
Je tombe des nues. Ma surprise est d’autant plus grande que c’est depuis environ trois semaines que nous avons fait parvenir, pour la première fois, au président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (Mrc), M. Maurice Kamto, un protocole d’interview. Dans notre courriel, nous écrivions le 17 janvier 2013 : « Avec la reprise des activités de Germinal, nous avons pensé que vous pouviez être notre invité du mois dans le cadre du dossier que nous préparons et qui paraîtra dans notre édition du 23 janvier 2013.  Dans le cadre de ce dossier, nous vous soumettons le protocole d’interview ci-dessous auquel nous réservons deux pages du journal. Nous irons sous presse mardi [22 janvier 2013] à 21 heures. Ci-attaché le protocole d’interview et Germinal n°080 ».

Mise à jour le Jeudi, 28 Mars 2013 08:09

Conditions sociales et réformes institutionnelles pour une transition pacifique au Cameroun

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«ll arrive souvent que les hommes préfèrent leur passion à leur intérêt, et il est des peuples qui ont disparu pour n’avoi pas voulu renoncer à leurs fétiches», Fabien Eboussi Boulaga (1999:51)
A l’occasion de la 24e édition de La Grande Palabre, le groupe Samory, éditeur de Germinal et ses partenaires (Harmattan Cameroon, La Fondation Gabriel Péri, Dynamique citoyenne, le quotidien Le Messager, Radio Cheikh Anta Diop, Addec et Human Rights Initiatives (HRI)), invitent le public  à prendre part à la réflexion (conférence-débat) qu’ils organisent à Yaoundé, le jeudi 29 novembre 2012, au Djeuga Palace hôtel à 14h sur le thème:
Conditions sociales et réformes institutionnelles pour une transition pacifique au Cameroun

Contexte
Le 06 novembre 2012 le président de la République du Cameroun qui a déjà 80 ans sonnés, a fêté ses 30 années passées à la magistrature suprême. À cela, si on ajoute six années passées à la présidence de la République comme Secrétaire général cumulativement avec ses fonctions de directeur du cabinet civil, ministre d’État Secrétaire général et sept années de séjour à la primature comme premier ministre depuis 1975, le chef de l’État, Paul Biya occupe les hautes cimes de la souveraineté nationale depuis…45 ans . Mais quelle longévité aux affaires!

Mise à jour le Mardi, 05 Mars 2013 09:05

L’engagement socio-historico-politique de Ferdinand Leopold Oyono revisité au prisme de son œuvre romanesque

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Hilaire sikounmo, l’auteur de cette démarche, a trouvé à son dernier essai de critique littéraire(1) un titre a priori ambigu, à la Cheikh Hamidou Kane(2); ou tout simplement dialectique, assez convenable pour pouvoir servir comme sujet de dissertation classique, avec sa fameuse problématique-thèse-antithèse-synthèse. Du Défaitisme dans l’œuvre de Ferdinand Oyono : tare ou philosophie ?  
Réalité ou fiction, de la part du nouvelliste camerounais ? Est-il, au bout du compte, question d’une ruse de guerre psycho-diplomatique dans son engagement littéraire de jeune étudiant en situation de colonisé contre les outrances assassines de l’entreprise coloniale française, l’une des plus indécrottables qui soient au monde – à travers le temps et l’espace ?

Mise à jour le Mercredi, 24 Octobre 2012 06:49

Cameroun : L’opposition en panne. Autopsie critique et propositions de relance

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Quand j’avais reçu dans ma boite électronique l’annonce de la parution de cet ouvrage, j’avais immédiatement sauté sur mon téléphone pour joindre le directeur des éditions Lupeppo qui m’avait déjà fait parvenir des ouvrages qu’il  édite. J’étais d’autant enthousiaste que nous étions en train de préparer une Grande Palabre spéciale (colloque) sur l’opposition camerounaise, colloque qui se tiendra les 7, 8 et 9 novembre 2012 ici même au Djeuga hôtel sur le thème Re-penser et re-construire l’opposition camerounaise. Cela veut dire que nos préoccupations se rejoignaient. Et si nous estimons que l’opposition camerounaise doit être re-construite, nous affirmons que le contexte dans lequel elle évolue est celui d’un champ de ruine  et qu’elle se trouve au milieu des gravats, c'est-à-dire que l’opposition camerounaise est en panne, pour parler comme Ahmadou Sehou. Sans nous concerter, sans même savoir que Ahmadou Sehou était sur un projet, nous nous rejoignions donc pour faire ce même constat poignant.

Mise à jour le Mercredi, 24 Octobre 2012 06:57

Njawé Amanda dénonce l'imposture de Jules Ombede Njawé

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Communiqué
Nous, soussignés, enfants légitimes et cohéritiers du défunt Pius Njawé, Fondateur du Journal Le Messager et du Free Media Group, avons constaté avec amertume, que depuis le décès accidentel de notre père, en juillet 2010, un individu prétendant se nommer Jules Ombede Njawé, et abusant ainsi du patronyme de notre papa, se livre régulièrement à des actes insultants pour la mémoire du défunt, dans le but évident d’obtenir des faveurs auprès de ses anciens amis et connaissances, ou de s’approprier tout ou partie de notre patrimoine familial, avant même qu’ait été rendu notre jugement d’hérédité.

Mise à jour le Samedi, 13 Octobre 2012 11:35

Mirages de migrants: un roman, comme si vous y étiez!

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« Les personnages et les scènes de ce récit sont imaginaires. Toute ressemblance avec des personnes et des évènements existant ou ayant existé est pure coïncidence et ne saurait engager la responsabilité de l’auteur. »

J’ai lu – vous aussi sans doute – cette profession de foi littéraire quelque part au début du nouvel ouvrage qui nous réunit ici ce jour. Une formule qu’on retrouve souvent, n’est-ce pas ?
Au contraire de l’auteur, ce que je vais dire tout de suite, loin de toute fioriture et précaution artistiques, m’engage, moi, et n’engage que moi…
Personnages et scènes imaginaires, dit-on ? Aucune « ressemblance avec des personnes et des évènements existant ou ayant existé » ? Je veux bien. Mais, sauf sénilité de ma part, Octavie, la cheffe Kongossa de cette  tchatche de deux centaines de pages, me semble si familière ! J’ai même l’impression de connaître quelque peu son environnement familial, et elle me donne l’impression de ressembler un peu à un papa patriote que j’ai également connu dans une précédente vie.
Coïncidence tout ça ? OK ! Seulement,  Octavie parcourt des villes, des pays et des continents situables géographiquement : Yaoundé, Bruxelles, Fomopéa, Cameroun, Belgique, Afrique, Europe… Octavie rappelle des figures historiques dont certaines nous sont bien connues et même très proches, tel surtout Mgr Albert Ndongmo, Evêque-Martyr de Nkongsamba au Cameroun, dont j’ai personnellement eu le bonheur de partager l’amitié et les activités avec un certain…

Mise à jour le Mercredi, 10 Juillet 2013 21:05

A propos des Épîtres de Jean-Marie Atangana Mebara

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Dans un livre dont la lecture est facilitée par la beauté d’un style que quelques méchantes coquilles ne parviennent pas à en altérer l’esthétique, et publié en 2011 dans la Collection « Pensée Africaine » des Éditions L’Harmattan, M. Jean-Marie Atangana Mebara réussit l’exploit singulier de construire une merveilleuse relation entre l’Ailleurs, cet espace carcéral saturé de frustrations, d’humiliations, de vexations et où sévit constamment une sévère crise d’humanité, et l’Ici, principalement peuplé de ses proches, paradoxalement devenus, des suites de l’ « Opération épervier », des êtres plus ou moins lointains. Dans la démographie des gens d’Ici, il y a aussi, bien sûr, des juges, des journalistes, des prélats, et d’autres personnes comme les professeurs Victor Anamah Ngu et Joël Moulen, M. Amadou Ali et toutes les autres personnalités qui sont « sous la menace de l’épervier ».
Le commerce épistolaire que M. Atangana Mebara noue, dans les Lettres d’Ailleurs, avec les siens, notamment sa fille Olive-Armelle Ngono et sa mère décédée, est sous-tendue par une intense relation théologique, celle qu’il continue d’avoir avec Dieu, son point d’Archimède spirituel, et son Église,

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