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"Le Renouveau est peut-être un vaste malentendu, une erreur originelle, pour ne pas dire un mythe pour idiots"

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altMonsieur Jean-Bosco Talla, nous vous avons perdu de vue depuis plusieurs mois, où est passé Germinal ?
Il serait judicieux de faire le distinguo entre ma personne et l’organe d’information que je dirige. Je suis bien présent dans l’espace public aussi bien à travers mes interventions chez des confrères qu’à travers mes activités, notamment dans le cadre d’un espace de la parole et de la citoyenneté, La Grande Palabre, que nous animons mensuellement depuis plus de trois ans. Ceux qui m’ont perdu de vue ne suivent peut-être pas nos activités.
Peut-être voulez-vous parler de l’absence de la version papier de Germinal dans les kiosques. En réalité, compte tenu de notre trésorerie, de notre implication dans plusieurs projets, notamment la coordination de trois ouvrages, l’animation du secrétariat et l’édition des ouvrages aux  éditions Terroirs et notre implication dans les activités de certaines organisations de la société civile camerounaise, nous avons décidé de suspendre momentanément la production de la version papier. Ces derniers temps, Germinal paraissait pourtant en ligne. Dans les tout prochains jours, Germinal reviendra dans les kiosques.

Mise à jour le Jeudi, 02 Mars 2017 23:24

L’unité de l’UPC, ou le devoir de répétition : Convergences pour la refondation de l’UPC

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Deux UPC : une UPC alliée du pouvoir et une UPC de l’opposition. C’est sur ces mots que j’ai terminé la première partie de mon article. Mon avis est que tout le monde vive. En disant cela je n’invente rien, je ne fais que m’aligner sur Ernest Ouandié qui opposait le simple bon sens au cortège de déplorations de plusieurs « UPC » : tous les groupes upécistes, disait-il en substance, finiront bien par s’entendre mais, précisait-il, s’ils sont tous sur les terrains des luttes.
J’ajoute qu’en dépit des divisions upécistes, on n’a jamais assisté à une quelconque confrontation sur la place publique entre des membres de ces « familles » upécistes. C’est donc un abus d’autorité de la part des fonctionnaires du MINATD, des sous-préfets en l’occurrence, qui invoquent l’ordre public pour interdire des congrès qui leur déplaisent et qu’ils ne voudraient pas voir tenir (c’est le genre de tracasseries que subit notre « famille » depuis notre premier Congrès sous le « Renouveau » en 1991 ! Qui dit mieux ?).

Mise à jour le Mardi, 26 Août 2014 08:31

Alerte : un coup d’État constitutionnel en préparation

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À propos du projet de création du poste de Vice –président lors de la session parlementaire de mars prochain
Lors de son discours à la nation du 31 décembre 2013, le président de la République a fait aveu d’impuissance face à l’immensité des défis de la nation et évoqué la nécessité d’un plan d’urgence. Près de deux mois après, rien dans l’action au sommet de l’Etat ne laisse penser qu’il y a vraiment urgence à agir. S’il est vrai que dans le sérail l’on a été tétanisé par cette lapalissade dans les premières semaines, force est de constater que le pouvoir tente de reprendre l’initiative sur son terrain favori, la politique politicienne. Terrifié par l’ampleur du désastre social et économique, fruit de trois décennies de mensonges, le régime tente désespérément de fuir le terrain des questions telles : l’accès à l’eau potable, à l’électricité, aux soins de santé de base, la crédibilité et l’efficience du système scolaire et universitaire, le chômage endémique, la démobilisation avérée de l’administration, la corruption systémique, les détournements compulsifs des deniers publics, la piètre qualité des travaux publics, l’ouverture des perspectives d’avenir pour la jeunesse, la prise en charge des personnes du troisième âge, l’industrialisation du pays, le défi de l’innovation, l’attractivité du pays pour les investisseurs nationaux et étrangers, la défiance de la population vis-à-vis de la justice, la pandémie de l’insécurité, la gestion rigoureuse et transparente des finances publiques, l’imbroglio de la nationalité à géométrie variable, l’effondrement du prestige du pays au plan international, etc.

Mise à jour le Jeudi, 22 Mai 2014 07:10

Propositions pour un vrai redressement de l’UPC

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(1).- La reconquête par l’UPC de plusieurs mairies dans le Département du Nyong-et-Kellé, et son retour à l’Assemblée nationale avec trois Députés, apparaissent comme une des données marquantes du double scrutin du 30 septembre 2013 au Cameroun.

(2).- face à ce résultat positif, nous saluons et remercions les populations du Nyong-et-Kellé qui ont émis un vote sanction exemplaire contre le parti néocolonial, et réhabilité le grand parti nationaliste de Ruben Um Nyobe , Félix Roland Moumie ,Ernest Ouandie , Kingue Abel et de tous les héros et martyrs de la libération nationale : l’Union des Populations du Cameroun (UPC), Âme immortelle du Peuple Kamerunais.

(3).- nul doute que dans le climat actuel de ras-le-bol de notre peuple martyr et affamé contre le parti au pouvoir englué dans la super- corruption, l’impéritie , les sectes maléfiques et leurs crimes rituels, et dans sa grande politique des grands slogans creux, l’UPC aurait pu enregistrer un plus large succès, bien au-delà du Nyong-et-Kellé et du pays bassa’a, si elle avait pu maîtriser ses désordres internes et ses divisions.

Mise à jour le Jeudi, 22 Mai 2014 07:08

Ceux qui ont dit «non»: De la renaissance de Paul Biya à la deuxième mort d'Ahmadou Ahidjo

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Insensible à la critique, au ridicule et au déshonneur, la fille d'Ahmadou Ahidjo, l'ancien président camerounais, dont il ne reste pas un seul atome de poussière au Cameroun, cette fille donc, touchée par la grâce d'une révélation tardive, prêche désormais la bonne nouvelle du Rdpc (catalyseur de toute la corruption possible au Cameroun, comme le prouvent tous leurs prisonniers célèbres).
Insensible à la critique, au ridicule et au déshonneur, la fille d'Ahmadou Ahidjo, l'ancien président camerounais, dont il ne reste pas un seul atome de poussière au Cameroun, cette fille donc, touchée par la grâce d'une révélation tardive, prêche désormais la bonne nouvelle du Rdpc (catalyseur de toute la corruption possible au Cameroun, comme le prouvent tous leurs prisonniers célèbres).

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