Du haut de son fauteuil présidentiel (Fauteuil n’est pas banc, aimait à dire Laurent Gbagbo), Paul Barthélémy Biya’a Bi Nko’o alias Paul Biya ou Pôle billard en a décidé le contraire. En pourtant, Cavaye Yeguié et ses proches qui connaissaient bien les coups de tête du résident de la Ripoublique ont longtemps hésité sur l’opportunité ou non pour lui de participer à ce scrutin. D’un côté d’aucuns soutenaient qu’il n’était pas utile qu’il prenne ce risque du moment où il devait logiquement être nommé parmi les trente sénateurs dont le choix incombe au Chef des tas. A contrario, d’autres soulignaient que cette option présentait l’inconvénient de faire de lui un sénateur dépourvu de légitimité, d’où l’urgence de sa candidature. Manque de pot, notre Cavalier yéyé a été déclaré non partant par le président du Rassemblement démoniaque des pilleurs du Cameroun (Rdpc).
patchwork
Le Cavalier Yéyé pleure en riant
Du haut de son fauteuil présidentiel (Fauteuil n’est pas banc, aimait à dire Laurent Gbagbo), Paul Barthélémy Biya’a Bi Nko’o alias Paul Biya ou Pôle billard en a décidé le contraire. En pourtant, Cavaye Yeguié et ses proches qui connaissaient bien les coups de tête du résident de la Ripoublique ont longtemps hésité sur l’opportunité ou non pour lui de participer à ce scrutin. D’un côté d’aucuns soutenaient qu’il n’était pas utile qu’il prenne ce risque du moment où il devait logiquement être nommé parmi les trente sénateurs dont le choix incombe au Chef des tas. A contrario, d’autres soulignaient que cette option présentait l’inconvénient de faire de lui un sénateur dépourvu de légitimité, d’où l’urgence de sa candidature. Manque de pot, notre Cavalier yéyé a été déclaré non partant par le président du Rassemblement démoniaque des pilleurs du Cameroun (Rdpc).
Paul Biya agacé par Monsieur péage
Les membres du pays organisateur s’étripent au sujet de l’alternance politique
Après le genre épistolaire développé via ses lettres ouvertes riches en révélations croustillantes et écrites derrière les barreaux de la prison centrale de Yaoundé, Marafa Hamidou Yaya a encore sorti le grand jeu. Un jeu d’écriture savamment orchestré derrière le cachot où il est désormais embastillé au Sed. Sans stylo ni feuille de papier et encore moins de moyens de communication, l’ex-ministre de l’Administration territoriale et de la décentralisation (Minadt), et ancien secrétaire général de la présidence de la République du Cameroun, condamné le 22 septembre 2012 à 25 ans de prison ferme pour complicité de détournement de fonds destiné à l’achat d’un avion présidentiel accordé une interview exclusive à un média international. Et Marafa Hamidou Yaya a su trouver les mots pour expliquer le procès kafkaïen dont il est l’objet depuis quelques mois.
« La longévité au pouvoir n’est ni une bonne ni une mauvaise chose en soi. Mais, indubitablement, dans le cas de Paul Biya elle se conjugue avec l’usure, l’immobilisme et la hantise du complot ». Sur la scène politique camerounaise, « parler d’alternance revient presque à proférer un tabou, à afficher une rivalité ou à passer pour un dangereux subversif », déplore sous le sceau de l’anonymat un journaliste pourtant proche du Rdpc, le parti présidentiel. Les nombreux détenus politiques de la prison centrale de Yaoundé peuvent en témoigner.
Un ami, Franck Biya, c’est bon pour la promotion à la tête du ministère des finances.
Les Camerounais ne s’amusent pas avec les affaires de cœur. Ce n’est pas le très sérieux journal gouvernemental qui affirmera le contraire. Dans une de ses dernières éditions, il est relaté qu’à Bafoussam, la capitale régionale de l’Ouest et village de Njitack Ngompé Pelé, un monsieur qu’on croyait jusque-là respectable directeur général adjoint de société, la Société camerounaise de Plastiques n’a pas supporté une scène de tendresse entre son épouse et un ami. Guy Hervé Talla s’est ainsi donné la mort. Le couple, comme bien d’autres, s’était livré au plaisir d’une virée en boîte la nuit du 25 décembre 2012. C’est dans cette enceinte que le jeune Dga de 32 ans sera surpris par un échange de tendresses entre sa dulcinée et un costaud bien fringué lui aussi. L’homme blessé ramène son épouse à la maison, la tabasse au point de vouloir mettre fin à sa vie. Elle n’aurait eu la vie sauve que grâce au cadet de son bourreau de mari qui s’est interposé. Mais la colère d’Hervé était tel qu’il ne pouvait supporter la scène vécue.
Snh: Adolphe Moudiki n'en peut plus
L’Homme-Lion, si on en croit La Lettre du Continent, ne serait pas insensible au calvaire que vit Adophe Moudiki. Peut-être que pour le Roi du Cameroun, l’actuel Administrateur directeur général de la Snh ne serait plus l’homme de la situation pour cette entreprise. Fatigué et diminué - des mauvaises langues affirment qu’il serait devenu grabataire - il ne viendrait plus au bureau depuis bien longtemps.
Les dossiers qui menacent le sphinx Biya
Comment Paul Biya se prépare pour quitter le pouvoir en 2013-2014
Plus d'articles...
Page 2 sur 3