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Les dossiers noirs de la République: Au moins 15000 morts en 28 ans de règne - Lettre à Sa Majesté Paul Biya, Roi du Cameroun

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Index de l'article
Les dossiers noirs de la République: Au moins 15000 morts en 28 ans de règne
Le pogrome
Parole aux acteurs
Les temps n’a pas effacé les mémoires
35 condamnés à mort exécutés à Mbalmayo
Message des leaders du «Mouvement J'Ose »
L'assassinat de l'intelligence
Le pionnier passe à la trappe
Prêtres et religieuses assassinés au Cameroun (liste non exhaustive)
Villes mortes : 100 à 400 morts sans responsables connus
Le feu, les casses et les morts
Le chemin de Damase
Monarques assassins et camarades de Paul Biya
C.O. : Paul Biya caporalise Douala
Le Renouveau catastrophique
Lettre du Cardinal Christian Tumi au Gouverneur du Littoral
Quand Biya perd le Nord
La faim justifie les moyens
Cameroun, un volcan en activité
« Le Biyaïsme est un mauvais accident de l'histoire de notre nation»
Trois crimes politiques capitaux d'Ahmadou Ahidjo dans l'histoire du Cameroun
Lettre à Sa Majesté Paul Biya, Roi du Cameroun
Toutes les pages
Lettre à Sa Majesté Paul Biya, Roi du Cameroun
Par Jean-Bosco Talla
Sa Majesté Monsieur le président,
Pour une fois, je me permets de vous faire une lettre que vous ne lirez probablement pas. Peut-être cela vaut-il mieux que vous ne la lisiez pas. Elle pourrait vous faire avoir les nerfs en boule. Peut-être un de vos conseillers officiels et officieux ou les services de renseignement vous feront une économie de son contenu, bien sûr en ménageant votre susceptibilité. En tout cas, il vaut mieux que l'on vous fasse parvenir une note de synthèse.
Si j'ai choisi ce procédé, c'est simplement parce que dans d'autres circonstances, après avoir été une des victimes du trafic d'influence qu'exercent, très souvent, certains proches collaborateurs de votre épouse sur certains ministres, dont notamment Jean-Stéphane Biatcha, secrétaire exécutif de Synergies africaines et Christophe Foé Ndi, intendant principal du Palais, je vous avais fait parvenir une correspondance qui est restée lettre morte. Aussi suis-je d'autant plus fondé à m'adresser à vous de cette manière que vous affirmiez, il y a quelques années, que la société nouvelle que vous ambitionnez de construire est celle au sein de laquelle aucun Camerounais n'a besoin, pour exprimer ses idées et opinions, de prendre la clé des champs. Lire la suite


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