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Comment la France tue, pille le Cameroun et l’Afrique

La dette de sang Le 19 mai 2006, on aurait donné à Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa le Bon Dieu sans confession après avoir écouté ses propos sur la nouvelle relation entre Lire la suite...

Dégage!

Les sévices présidentiels On veut bien prendre les propos de Joseph Anderson Le publiés dans Mutations du 26 avril 2016, comme des paroles d’Évangile, quand il écrit ; «il faut […] Lire la suite...

Succession présidentielle: La guerre totale

Vers la nuit des longs couteauxOn peut résumer l’art de gouverner chez Paul Biya par cette phrase de Machiavel. « Les États héréditaires accoutumés à la famille de leur prince Lire la suite...

Des désastres judiciaires

L'injuste TcsLes mots ont un sens. Quand on les emploie, c’est pour dire quelque chose, pour se faire comprendre surtout si on a pris la peine de clarifier le sens Lire la suite...

RDPC: Vers un bain de sang

Pour qui sonne le glas?Contrairement aux apparences, le Rassemblement démocratique du peuple camerounais de Paul Biya n’est pas rassemblé. La volonté de Jean Nkuete d’en faire le directeur de conscience Lire la suite...

Les Injustices de la justice

Ces injustes qui jugent!!!La justice en tant que valeur et institution fait aujourd’hui débat au Cameroun. Les raisons d’un tel intérêt proviennent certainement des injustices dont elle s’est rendue coupable  Lire la suite...

«Près de 70% de Camerounais ne sont pas gouvernés»

Il reste fidèle à lui-même. Avec son franc parler incisif qui dérange. Comme on dit, il n’a pas sa langue dans sa poche. A l’écouter, on se dirait être en Lire la suite...

Le naufrage du Cameroun, C'est eux!

Les naufrageursPeut-on encore parler d’hommes et de femmes politiques au Cameroun sans amertume? Au début des années 90, bien que naissante, l’opposition avait fait rêver le peuple camerounais. Plus de Lire la suite...

Les chantiers de l'inertie dans un Etat voyou

Les chantiers de l'inertie Le divorce entre Paul Biya et les Camerounais semble consommé : au-delà de ses longs-courts séjours privés dispendieux en Europe et des biens mal acquis, Paul Biya Lire la suite...

Sortir de l'impasse. Défis et responsabilités de l'opposition patriotique

Préparation et organisation minutieusesLes Camerounais ont certainement sous-estimé la capacité de résistance du Renouveau-Rdpc. Au début des années 1990, le peuple camerounais avait rêvé. Il croyait encore à la magie Lire la suite...

Paul Biya, un homme dépassé, du passé et du passif

Désastre innommableAprès son départ du pouvoir Ahmadou Ahidjo, entame une tournée provinciale pour convaincre les Camerounais d’accorder leur soutien à son successeur constitutionnel Paul Biya. Presque partout où il passe, Lire la suite...

Catastrophe ferroviaire d'Eséka: ces vérités cachées

Commission d'enquête alimentaireLa ficelle est grosse, trop grosse même. Chaque fois qu’il se produit une catastrophe qui frappe l’imaginaire et l’imagination des Camerounais, Paul Biya, pour calmer les esprits, se Lire la suite...

Crise anglophone et échec des mouvements sociaux protestataires: A qui la faute?

La question anglophoneLes Camerounais sont d'accord pour dire qu'il est légitime que nos frères et compatriotes d'expression anglaise posent leurs problèmes et qu'il est légitimes qu'ils l'expriment bruyamment par des Lire la suite...

Cameroun, 2017-2018: Zone de fortes turbulences; Tout est prêt pour que tout explose

La chance d'un cadavreDisons-le sans périphrases prudentes : Paul Biya est chanceux. Il a la chance d’un cadavre. Il est tellement chanceux que chaque fois que le fruit mûr attend Lire la suite...

Maurice Kamto: l'intellectuel, le politique et la renaissance

Le Cameroun irait mieux, s'il était bien géréOn peut facilement suivre la trajectoire intellectuelle de Maurice Kamto, cet intellectuel impertinent qui a décidé de se jeter dans l’univers politique, celui Lire la suite...

Christopher Fomunyoh: le Leader, le politique et l'humaniste

«Aucun pays africain n'a connu une alternance politique avec une opposition aussi fragmentée que la nôtre.»«Aucun pays africain n'a connu une alternance politique avec une opposition aussi fragmentée que la Lire la suite...

Paul Biya: Roi fainéant à perpétuité et sans ambition

Mourir au pouvoirLa manière de gouverner de Paul Biya n’étonne plus grand monde. Ayant été aux côtés d’Ahmadou Ahidjo, son illustre prédécesseur, il sait tenir sa langue et cultiver le Lire la suite...

Comment la France tue, pille le Cameroun et l’Afrique Dégage! Succession présidentielle: La guerre totale Des désastres judiciaires RDPC: Vers un bain de sang Les Injustices de la justice «Près de 70% de Camerounais ne sont pas gouvernés» Le naufrage du Cameroun, C'est eux! Les chantiers de l'inertie dans un Etat voyou Sortir de l'impasse. Défis et responsabilités de l'opposition patriotique Paul Biya, un homme dépassé, du passé et du passif Catastrophe ferroviaire d'Eséka: ces vérités cachées Crise anglophone et échec des mouvements sociaux protestataires: A qui la faute? Cameroun, 2017-2018: Zone de fortes turbulences; Tout est prêt pour que tout explose test Maurice Kamto: l'intellectuel, le politique et la renaissance Christopher Fomunyoh: le Leader, le politique et l'humaniste Paul Biya: Roi fainéant à perpétuité et sans ambition

Université des Montagnes: l'Enfer du décor

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Index de l'article
Université des Montagnes: l'Enfer du décor
Remise des diplomes à l’UdM : L’arbre qui cache la forêt,par Etienne Lantier
Un temple de savoirs et de...convoitises, par Olivier Ndenkop et Ikemefuna Oliseh
L'impératif d'un aggiornamento, par O.A.N et I.O
UdM, une vache à lait, par Ikemefuna Oliseh
Professeur Jeanne Ngogang: l'Amère de l'UdM, par Maheu
Quand un temple scientifique devient un sujet de littérature, par Olivier A. Ndenkop
Témoignage: AED-UdM, travestissements des faits et inversion des rôles, par Innocent Futcha
Chronique d'une déconfiture annoncée, par Jean-Blaise Samou
Pour solde de tout compte : Ambroise kom, l’intellectuel indocile, par Gérard Keubeung
L'UdM et la fin de l'utopie, par Alexis Tcheuyap
UdM : du site captatoire d’un rêve au lieu de surexposition d’un cauchemar, par Hervé Tchumkam
Interview : Les dirigeants sont dépourvus d'ascèse et ont du mal à s'élever au-dessus des besoins primaires, Professeur Ambroise Kom
''Certains ont toujours pensé qu'ils étaient indispensables, irremplaçables, incontournables, qu'en leur absence tout irait mal'', par Henri Njomgang; président de l'AED
Lettre de Shanda Tomne à l'hebdomadaire Jeune Afrique
Au-delà de la faillite morale, imaginer l'architecture du futur, par Cilas Kemejo
Refaire ou ajuster l’université africaine ?, par Jean-Marc Ela
Lettre ouverte au Président de l’AED, par Professeur Jean – Baptiste Fotso Djemo
Toutes les pages

Sauver l'UdM,par Ikemefuna Oliseh
Au cours de l’entretien avec le président de l’Association pour l’Education et le Développement (AED), celui-ci affirmait que « Si on renouvelle toute la classe dirigeante, en nous maintenant uniquement comme des conseillers, nous finirons par nous entendre. La nouvelle génération qui arrivera aura les mains libres et sera libérée de nos casseroles et de nos querelles. Elle saura trouver les voies et moyens pour gérer notre passif »
Curieusement, il y a quelques jours deux importantes décisions du président de l'AED étaient rendues publiques. La 1ère décision nomme un vice président de l'UdM chargé de l'administration générale, en la personne du Pr Jean Michel Tekam (78 ans), jusque-là enseignant dans la filière pharmacie. La nomination de cet homme bien connu dans la scène politique camerounaise pour ses prises de position iconoclastes vient mettre un terme au monopole de la vice-présidence jusque-là exercé par le Pr Jeanne Ngogang qui gérait tant bien que mal les affaires académiques. Désormais donc le Pr Kaptué sera secondé par deux vices présidents.
La seconde décision nomme le Pr Moyo Kamdom

(plus de 70 ans, grand frère de Yimgaing Moyo, vice président de l’AED), doyen de la Faculté des Sciences de la Santé, poste resté vacant depuis la démission, il y a environ 6 mois, du Pr Robert Leke.
En attendant de voir les nouveaux promus à l'œuvre, ces nominations font déjà jaser sur les campus. En dehors de leur proximité (tribale et/ou familiale) avec certains dirigeants de l'AED, ces choix manquent de réalisme car ces deux responsables ne seraient pas des exemples de dynamisme, alors qu'il y a des jeunes capables de faire l'affaire.
Dans la lutte de pouvoir qui a cours à l’UdM, la nomination du Pr Tekam viendrait mettre fin à la toute puissance du Pr Ngogang, considérée comme la vraie patronne de l'UdM, le président Kaptué étant déjà un peu fatigué.
Ces nominations cachent aussi mal la volonté des dirigeants de l’AED de faire barrage à la Ndéisation de l’UdM en cours. Elle ne saurait détourner les regards sur les dérives ayant cours à l’UdM.
Qui a connu l’UdM dans ses années de gloire sait que cette institution symbolisait le dynamisme et la solidarité d’un groupe d’intellectuels et autres penseurs, et dans une moindre mesure des membres d’une communauté : les Bamiléké. Aujourd’hui, cette institution n’est plus que l’ombre d’elle-même malgré les apparences. Personne n’ose le dire à haute voix, pourtant beaucoup dans l’opinion le pensent et le ressentent même. Accusations et contre accusations entre les membres fondateurs fusent de toutes parts: non-respect des principes fondateurs de l’association, nominations fantaisistes, démissions en cascade des responsables jusqu’au plus haut niveau, révolte des anciens diplômés contre leur institution, baisse dramatique du niveau de la formation et quelquefois arrogance de certains dirigeants de l’AED qui confondent leur rôle avec ceux des dirigeants de l’UdM, vernissage managérial, etc.
Pour sauver l’UdM, des mesures urgentes doivent être prises. Trois mesures urgentes sont à prendre.
La première est la séparation réelle des pouvoirs entre les dirigeants de l’AED et ceux de l’UdM
La seconde est la nomination à la tête de cette institution d’un manager universitaire compétent et outillé qui n’est pas membre de l’AED mais à qui des comptes seront demandés.
Enfin, il faut sanctionner les hauts responsables indélicats et cesser de considérer l’UdM comme une vache à lait, ou comme une affaire de famille, de copains et de coquins.
Ikemefuna Oliseh

Source: Germinal, édition spéciale, n°114, du 21 mars 2018