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Comment la France tue, pille le Cameroun et l’Afrique

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Quand les opposants refusent le pouvoir. Analyse des stratégies de la défaite. - Pour changer la donne

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Index de l'article
Quand les opposants refusent le pouvoir. Analyse des stratégies de la défaite.
2018: A vraincre sans péril, on triomphe sans gloire, par Jean Baptiste Sipa
Elections en 2018 au Cameroun : Faut-il déjà crier ''haro'' sur l'opposition?, par Roger Kaffo Fokou, enseignant, écrivain et chercheur
Les opposants et leurs stratégies de la défaite, par Ikemefuna Oliseh
Pour changer la donne
Le charlatanisme comme alternative politique, par Jean-Bosco Talla
Le défi de l'organisation
Les chances de succès des candidats potentiels ou déclarés sont assez limitées, par Ahmadou Sehou
Occasions manquées et myopie de l'opposition camerounaise, par Enoh Meyomess
Problèmes actuels de nos luttes actuels, Guillaume Henri Ngnepi, Philosophe
Toutes les pages

Pour changer la donne
Si nous tenons compte des déclarations de candidatures qui ont déjà été faites, chaque opposant veut être président de la République. Cependant, nous avons atteint un niveau où il est devenu difficile à l’opposition de prendre le pouvoir. Et même si un opposant parvenait à être élu à la présidence de la République, il lui sera très difficile de changer véritablement le Cameroun, étant donné que le système,  administratif est déjà vicié et est acquis au parti au pouvoir. Et comme aucun parti politique ne veut se suicider, si un opposant accède au pouvoir suprême, l’administration acquise au RDPC l’empêchera de gouverner et de changer quoi que ce soit.
Par ailleurs, si l’opposition voulait un jour changer la donne, elle devrait d’abord commencer par conquérir le pouvoir au niveau des instances de proximité, notamment l’Assemblée nationale, les municipalités. Pour la simple raison que si l’opposition est majoritaire dans les municipalités, elle sera automatiquement majoritaire dans les conseils régionaux et au  énat, et dans une certaine mesure à l’Assemblée nationale.
C’est cette analyse que les opposants refusent de faire, à quelques exceptions près. Si l’opposition représentait la moitié ou le tiers de l’Assemblée nationale, elle pèsera de tout son poids pour bloquer certaines lois et empêchera qu’elles ne passent plus comme une lettre à la poste.
Obnubilés par la présidence de la République, les opposants camerounais, aussi bien les plus représentatifs que ceux dont les partis n’ont aucun militant, font comme s’ils ne comprennent pas, même quand on leur fait des observations et des analyses pertinentes.
En se focalisant uniquement sur la présidence de la République, ils courent derrière un pouvoir qu’ils sont incapables de conquérir, parce que tout est mis en œuvre pour les y empêcher, abandonnant le pouvoir qui est à leur portée. Dans ce sens, on peut bien dire que les opposants refusent le pouvoir. Tel que le Cameroun se présente de nos jours, aucun groupe ne peut le gouverner sans maîtriser les instances de proximité.
Sur le plan de l’occupation territoriale, l’opposition camerounaise n’est pas représentée dans les 10 régions du Cameroun, notamment dans les zones les plu reculées. Il existe des communes et des départements entiers où les partis politiques d’opposition ne sont pas implantés, donc ils sont incapables de présenter des candidats dans lesdites localités aux législatives aux municipales. Dans ces localités, ils devraient constituer des listes hétéroclites des candidats qui transcendent les clivages politiques et idéologiques.
Yvanna Claire Owona



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